En Ukraine, la plupart des choses de la vie quotidienne se paie en cash : l’école, les cours de danse, les salaires… Alors, quand crise oblige, les distributeurs de billets ne délivrent plus que des billets de 100 ou de 50 grivnias, payer le sadik par exemple (6000 grivnias, soit 120 billets de 50) devient un vrai casse-tête pour un Français habitué à dégainer sa carte bancaire à toutes les occasions.
Rapidement, je me suis rendue compte, que je ne savais pas compter les billets, aussi bien qu’un Ukrainien. Quelle est votre technique ? La mienne, faire des petits tas de 10, puis compter le nombre de tas !
Et voilà, cette semaine, Mister Jo est revenu avec un nouveau meuble. Désormais, trône dans notre salon une machine à compter les billets (et la nôtre est collector) !
Démonstration
note : aujourd’hui un billet de 100 grivnias = moins de 3,80 euros